Abderrahmane Sissako signe une œuvre humaniste et engagée, qui explore les relations complexes entre le Nord et le Sud, et le sort d’un continent africain en souffrance. Né en 1961 à Kiffa, Mauritanie, il passe son enfance au Mali. À partir de 1983, il suit à Moscou les cours du célèbre VGIK, l’Institut fédéral d’État du cinéma. Il y réalise ses deux premiers courts métrages : Le jeu et Octobre, présenté en 1993 dans la section Un Certain Regard du Festival de Cannes. À partir d’une commande pour des fables de La Fontaine, il réalise Le Chameau et les bâtons flottants (1995) et enchaîne avec un court de la série Africa Dreamings, Sabriya – Le Carré de l’échiquier. En 1998, il tourne La Vie sur Terre, un retour au pays natal qui fait écho aux textes d’Aimé Césaire. En 2002, il réalise En attendant le bonheur, récompensé du Prix de la Critique Internationale à Cannes, de l’Étalon de Yennenga du Fespaco de Ouagadougou ainsi que du Grand Prix de la Biennale des cinémas arabes de Paris. En 2006, dans la maison familiale au Mali, il tourne Bamako, sélectionné hors compétition au Festival de Cannes. En 2015, Timbuktu, qui figure dans la compétition officielle du Festival de Cannes, suscite un grand enthousiasme en devenant le premier film mauritanien à concourir pour l’Oscar du Meilleur film étranger. En France, il remporte sept César, dont celui du Meilleur réalisateur et du Meilleur film.
Abderrahmane Sissako signe une œuvre humaniste et engagée, qui explore les relations complexes entre le Nord et le Sud, et le sort d’un continent africain en souffrance. Né en 1961 à Kiffa, Mauritanie, il passe son enfance au Mali. À partir de 1983, il suit à Moscou les cours du célèbre VGIK, l’Institut fédéral d’État du cinéma. Il y réalise ses deux premiers courts métrages : Le jeu et Octobre, présenté en 1993 dans la section Un Certain Regard du Festival de Cannes. À partir d’une commande pour des fables de La Fontaine, il réalise Le Chameau et les bâtons flottants (1995) et enchaîne avec un court de la série Africa Dreamings, Sabriya – Le Carré de l’échiquier. En 1998, il tourne La Vie sur Terre, un retour au pays natal qui fait écho aux textes d’Aimé Césaire. En 2002, il réalise En attendant le bonheur, récompensé du Prix de la Critique Internationale à Cannes, de l’Étalon de Yennenga du Fespaco de Ouagadougou ainsi que du Grand Prix de la Biennale des cinémas arabes de Paris. En 2006, dans la maison familiale au Mali, il tourne Bamako, sélectionné hors compétition au Festival de Cannes. En 2015, Timbuktu, qui figure dans la compétition officielle du Festival de Cannes, suscite un grand enthousiasme en devenant le premier film mauritanien à concourir pour l’Oscar du Meilleur film étranger. En France, il remporte sept César, dont celui du Meilleur réalisateur et du Meilleur film.
Abderrahmane Sissako signe une œuvre humaniste et engagée, qui explore les relations complexes entre le Nord et le Sud, et le sort d’un continent africain en souffrance. Né en 1961 à Kiffa, Mauritanie, il passe son enfance au Mali. À partir de 1983, il suit à Moscou les cours du célèbre VGIK, l’Institut fédéral d’État du cinéma. Il y réalise ses deux premiers courts métrages : Le jeu et Octobre, présenté en 1993 dans la section Un Certain Regard du Festival de Cannes. À partir d’une commande pour des fables de La Fontaine, il réalise Le Chameau et les bâtons flottants (1995) et enchaîne avec un court de la série Africa Dreamings, Sabriya – Le Carré de l’échiquier. En 1998, il tourne La Vie sur Terre, un retour au pays natal qui fait écho aux textes d’Aimé Césaire. En 2002, il réalise En attendant le bonheur, récompensé du Prix de la Critique Internationale à Cannes, de l’Étalon de Yennenga du Fespaco de Ouagadougou ainsi que du Grand Prix de la Biennale des cinémas arabes de Paris. En 2006, dans la maison familiale au Mali, il tourne Bamako, sélectionné hors compétition au Festival de Cannes. En 2015, Timbuktu, qui figure dans la compétition officielle du Festival de Cannes, suscite un grand enthousiasme en devenant le premier film mauritanien à concourir pour l’Oscar du Meilleur film étranger. En France, il remporte sept César, dont celui du Meilleur réalisateur et du Meilleur film.
Abderrahmane Sissako signe une œuvre humaniste et engagée, qui explore les relations complexes entre le Nord et le Sud, et le sort d’un continent africain en souffrance. Né en 1961 à Kiffa, Mauritanie, il passe son enfance au Mali. À partir de 1983, il suit à Moscou les cours du célèbre VGIK, l’Institut fédéral d’État du cinéma. Il y réalise ses deux premiers courts métrages : Le jeu et Octobre, présenté en 1993 dans la section Un Certain Regard du Festival de Cannes. À partir d’une commande pour des fables de La Fontaine, il réalise Le Chameau et les bâtons flottants (1995) et enchaîne avec un court de la série Africa Dreamings, Sabriya – Le Carré de l’échiquier. En 1998, il tourne La Vie sur Terre, un retour au pays natal qui fait écho aux textes d’Aimé Césaire. En 2002, il réalise En attendant le bonheur, récompensé du Prix de la Critique Internationale à Cannes, de l’Étalon de Yennenga du Fespaco de Ouagadougou ainsi que du Grand Prix de la Biennale des cinémas arabes de Paris. En 2006, dans la maison familiale au Mali, il tourne Bamako, sélectionné hors compétition au Festival de Cannes. En 2015, Timbuktu, qui figure dans la compétition officielle du Festival de Cannes, suscite un grand enthousiasme en devenant le premier film mauritanien à concourir pour l’Oscar du Meilleur film étranger. En France, il remporte sept César, dont celui du Meilleur réalisateur et du Meilleur film.
* BLACK TEA (2024)
* TIMBUKTU (2014)
NI BRUNE, NI BLONDE (2010, court métrage)
LE REVE DE TIYA (2008)
* BAMAKO (2006)
* EN ATTENDANT LE BONHEUR / HEREMAKONO (2002)
* LA VIE SUR TERRE (1998)
* ROSTOV-LUANDA (1997, court métrage)
SABRIYA – LE CARRE DE L’ECHIQUIER (1996, court métrage)
LE CHAMEAU ET LES BÂTONS FLOTTANTS (1995, court métrage)
* OCTOBRE (1993, court métrage)
LE JEU (1989, court métrage)
* également scénariste
Créée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI en juillet 2002, la Fondation du Festival International du Film de Marrakech est une association à but non lucratif, reconnue d’utilité publique.
Présidée par Son Altesse Royale Le Prince Moulay Rachid, la Fondation a essentiellement pour objet l’organisation du Festival International du Film de Marrakech et tous événements y afférents ayant pour but d’encourage la création cinématographique, sa promotion et sa diffusion dans le Royaume du Maroc et dans le monde.
Créée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI en juillet 2002, la Fondation du Festival International du Film de Marrakech est une association à but non lucratif, reconnue d’utilité publique.
Présidée par Son Altesse Royale Le Prince Moulay Rachid, la Fondation a essentiellement pour objet l’organisation du Festival International du Film de Marrakech et tous événements y afférents ayant pour but d’encourage la création cinématographique, sa promotion et sa diffusion dans le Royaume du Maroc et dans le monde.